Social Confinement -Confinement Social
Thoughts in Darrick Wood by Trevor Morgan 25
April 2020 (traduction française ci-dessous)
Darrick wood is a confined space, but nowhere near as
confined as a back garden. An apartment balcony is a miniscule space. The
covid-19 confinement is now taking its toll mentally. I liken it to house
arrest. We are lucky we have some green space in our garden to exercise and we
have plenty of green space all around us to go for a walk or run. We can now
hear the dawn chorus so much better which cheers us up. We are lucky.
It is important, however, to spare some thoughts to
those who are confined in an apartment or on their own. It must be worse still
for people confined in nursing homes or hospitals.
I am fearful that the UK statistics for death in care
homes will be in their thousands when they are finally released next Tuesday.
The older people in care homes and their carers have unfortunately been
neglected. This does not reflect well upon our society. The resources to help
everyone are still available. This might not be the case if there is economic
devastation. My wife and I are trying to keep ourselves as fit as possible to
put off the day when we too may have to face life in a care home. I have got a
contingency plan in mind if I am to be left alone, and it does not involve
being left to depend on others in a care home.
We should also spare a thought for prisoners. In the
first place why are so many people imprisoned for petty offences? Why are they
sharing cells without toilet facilities? Why are non-dangerous prisoners being
kept in prison to risk catching covid-19 themselves or spreading it to prison
officers and their families. We should be considering the release of nonviolent
prisoners forthwith to make room for social distancing. British society should
take a more humane attitude towards prisoners. To be deprived of your liberty
is punishment enough, there is no need to punish offenders further by allowing
them to catch life threatening diseases as well.
Pensées dans Darrick
Wood par Trevor Morgan 25 avril 2020
Darrick wood est un espace confiné, mais loin d’être
aussi confiné qu’un jardin. Un balcon d’appartement est un espace minuscule. La
détention au covid-19 fait maintenant des ravages mentalement. Je compare cela
à la détention à domicile. Nous avons de la chance d’avoir un espace vert dans
notre jardin pour faire de l’exercice et nous avons beaucoup d’espace vert tout
autour de nous pour aller faire une promenade ou courir. Nous pouvons
maintenant entendre le choeur de l’aube tellement mieux qui nous remonte le
moral. Nous sommes chanceux.
Il est important, cependant, d’épargner quelques
pensées à ceux qui sont confinés dans un appartement ou sur leur propre. Ce doit être encore pire pour les personnes
confinées dans des maisons de retraite ou des hôpitaux.
Je crains que les statistiques du Royaume-Uni sur les
décès dans les foyers de soins ne soient des milliers lorsqu’elles seront
finalement publiées mardi prochain. Les personnes âgées dans les foyers de soins et
leurs aidants ont malheureusement été négligés. Cela ne reflète pas bien notre société. Les ressources pour aider tout le monde sont
toujours disponibles. Ce n’est peut-être pas le cas s’il y a des ravages
économiques. Ma femme et moi essayons de nous garder le plus en
forme possible pour repousser le jour où nous aussi devrons faire face à la vie
dans une maison de soins. J’ai un plan d’urgence en tête si je dois rester
seul, et il ne s’agit pas de dépendre des autres dans une maison de soins.
Il faut aussi penser aux prisonniers. D’abord, pourquoi tant de gens sont-ils emprisonnés
pour des délits mineurs? Pourquoi partagent-ils des cellules sans toilettes ? Pourquoi les prisonniers non dangereux sont-ils
gardés en prison pour risquer d’attraper eux-mêmes le covid-19 ou de le
transmettre aux agents de la prison et à leurs familles? Nous devrions envisager la libération immédiate de
prisonniers non violents pour faire place à l’éloignement social. La société britannique devrait adopter une attitude
plus humaine à l’égard des prisonniers. Être privé de votre liberté est une punition
suffisante, il n’est pas nécessaire de punir davantage les contrevenants en
leur permettant d’attraper des maladies qui mettent la vie en danger.

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