Darrick wood Decadence - Décadence


Thoughts in Darrick Wood by Trevor Morgan 22 April 2020 (traduction française ci-dessous)

 When I look up to the skies, I see the birds flying around without a care and living their lives by instinct. A bird can fly wherever and whenever it likes, and it can cross borders without a passport. Not so human beings, we have burdened ourselves with bureaucracy. The birds do not know how lucky they are. They have also been clever enough not to tie themselves down to obeying a machine.

Everything that we do is governed by a misuse of bureaucracy which is aided and abetted by the misuse of computer technology. We could have used computers to make our lives so much better.
In their wisdom, the blue skies thinkers in government have relied upon just in time computerised systems to supply vital infection prevention equipment and drugs. This is all very well when things are running smoothly. When there is a pandemic this is a disaster. Strategic stocks should have been held within the country to allow for time to manufacture and supply these resources locally. The lack of planning is negligent.

The Covid-19 virus does not recognise an excel spread sheet or a promise; it goes about its business without thinking and without making moral judgements. It does not lie, it does not make broken promises, it does not make public relations statements to cover up its incompetence. It does not have intelligence and it can be eradicated.

Our administration from top to bottom has become decadent and it lacks excellence. The only decisive people are the health service and care workers who are at the “coal face”, and who are not being provided with the equipment, tests and drugs to save lives and prevent the disease spreading.  They are however being supplied with plenty of platitudes and empty gestures. They are risking their lives for a promise.

I applaud the” coal face” workers and the police, the ambulance staff and fire brigade who are also doing their duty without the protection that they deserve. We cannot afford these failures to be repeated in the future. We are on the cliff edge, let us not fall over it.



Pensées dans Darrick Wood par Trevor Morgan 22 avril 2020

Quand je regarde le ciel, je vois les oiseaux voler sans aucun soin et vivre leur vie par instinct. Un oiseau peut voler n’importe où et n’importe quand, et il peut traverser les frontières sans passeport. Ce ne sont pas des êtres humains, nous nous sommes accablés de bureaucratie. Les oiseaux ne savent pas à quel point ils ont de la chance. Ils ont également été assez intelligents pour ne pas s’attacher à obéir à une machine.

Tout ce que nous faisons est régi par une mauvaise utilisation de la bureaucratie qui est favorisée par l’utilisation abusive de la technologie informatique. On aurait pu utiliser des ordinateurs pour améliorer notre vie.

Dans leur sagesse, les penseurs des horizons du gouvernement ont compté sur des systèmes informatiques juste à temps pour fournir de l’équipement essentiel de prévention des infections et des médicaments. C’est très bien quand les choses vont bien. Quand il y a une pandémie, c’est une catastrophe. Des stocks stratégiques auraient dû être conservés à l’intérieur du pays pour laisser le temps de fabriquer et d’approvisionner ces ressources localement. Le manque de planification est négligent.
Le virus Covid-19 ne reconnaît pas une feuille de calcul Excel ni une promesse; il fait son travail sans réfléchir et sans porter de jugement moral. Il ne ment pas, il ne fait pas de promesses non tenues, il ne fait pas de déclarations de relations publiques pour camoufler son incompétence. Il n’a pas d’intelligence et il peut être éradiqué.

Notre administration de haut en bas est devenue décadente et manque d’excellence. Les seules personnes déterminantes sont les travailleurs des services de santé et de soins de santé qui sont« au front » et qui n’ont pas été fournis avec l’équipement, les tests et les médicaments nécessaires pour sauver des vies et prévenir la propagation de la maladie. Cependant, on leur offre beaucoup de platitudes et de gestes vides. Ils risquent leur vie pour une promesse.

Je félicite les travailleurs « du front » ainsi que la police, le personnel ambulancier et les pompiers qui font également leur devoir sans la protection qu’ils méritent. Nous ne pouvons nous permettre que ces échecs se répètent à l’avenir. Nous sommes au bord de la falaise, ne tombons pas par-dessus.





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